Le rôle de ce comité composé des présidents togolais, ivoirien, ghanéen, guinéen et nigérian, est d’adopter les termes de références et superviser l’étude approfondie des implications de l’adhésion à part entière du Maroc, de la Tunisie en qualité d’observateur et de la Mauritanie comme membre associé.
La Conférence estime que ces différents dossiers « devraient être précédés par la mise en place de cadre institutionnel approprié qui devrait constituer la base juridique de telle décision ».
En juin 2017, à Monrovia, au Liberia, lors de leur 51ème session ordinaire, les leaders ouest-africains avaient donné leur accord de principe pour l’adhésion du Maroc à la Communauté, tout en demandant à la Commission d’examiner les implications d’une telle adhésion conformément aux dispositions du Traité Révisé de la Cedeao, et de soumettre les résultats à ce 52e sommet.
La Conférence estime que ces différents dossiers « devraient être précédés par la mise en place de cadre institutionnel approprié qui devrait constituer la base juridique de telle décision ».
En juin 2017, à Monrovia, au Liberia, lors de leur 51ème session ordinaire, les leaders ouest-africains avaient donné leur accord de principe pour l’adhésion du Maroc à la Communauté, tout en demandant à la Commission d’examiner les implications d’une telle adhésion conformément aux dispositions du Traité Révisé de la Cedeao, et de soumettre les résultats à ce 52e sommet.