Ce projet, qui va démarrer officiellement le 30 juin 2016, vise à diversifier les produits touristiques et à valoriser le patrimoine culturel et archéologique à travers la création de circuits d’archéologie sous-marine et de randonnées à vélo.

Plusieurs villes sont concernées par le projet, dont Kélibia et Haouaria (gouvernorat de Nabeul), Tabarka (gouvernorat de Jendouba) et Raf-raf (gouvernorat de Bizerte).

La campagne promotionnelle, lancée en présence de représentants de tour-opérateurs tunisiens et étrangers, consiste en l’installation de panneaux routiers de signalisation des circuits.

Culturas est financé par l’Instrument européen de voisinage et de partenariat dans le cadre du programme de coopération transfrontalière tuniso-italienne, sous la supervision de la région de Sicile et en collaboration avec l’Office national du tourisme tunisien (ONTT) et de l’Institut national du patrimoine (INP).

Cela pour dire que la société civile fait mieux que les autorités officielles du tourisme pour diversifier le produit. Une petite victoire remportée face au lobbyisme balnéaire.