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ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES : Le Sénégal veut aller encore plus de l’avant


Rédigé le 15 Décembre 2017 à 16:11 | 0 commentaire(s) modifié le 15 Décembre 2017 - 16:18


Le ministre de la Promotion des Investissements a indiqué ce vendredi, à Saly, que le principal défi de son département pour les prochaines années demeure la poursuite de l’amélioration de l’environnement des affaires par une meilleure prise en charge des facteurs de production et de connectivité entre autres. Madame Khoudia Mbaye l’a fait savoir lors de l’ouverture de l’atelier stratégique 2017 de son ministère.


(Ecofinance.sn Dakar) -Cette rencontre destinée à évaluer les activités du ministère de la Promotion des Investissements a permis à Khoudia Mbaye de décliner les perspectives. Il s’agit, selon elle, de poursuivre l’amélioration de l’environnement des affaires par une meilleure prise en charge des facteurs de production et de connectivité et aussi la dématérialisation des démarches administratives liées à l’investissement et au commerce et le renforcement de l’environnement juridique et fiscal. « Il nous faut pousser nos efforts pour la réalisation de projets en mode PPP et accomplir un saut qualitatif en matière de législation du secteur numérique. C’est à ce prix-là que nous allons réussir à positionner notre pays comme hub attractif en Afrique », a fait savoir le ministre qui n’a pas occulté les résultats obtenus au courant de l’année 2017. 

Selon madame Khoudia Mbaye, « la conduite et le suivi des réformes du climat des affaires dans le cadre du Programme triennal de réformes de l’environnement des affaires et de la compétitivité (PREAC) ont permis à notre pays d’améliorer sensiblement son score dans les exercices de notation internationale, tels que le Doing Business de la Banque mondiale, le Mo Ibrahim, le Forum économique de Davos et Transparency ». Il s’y ajoute, selon le ministre que l’approfondissement du Preac, dans le courant de l’année 2017, a permis la réduction des facteurs de production, notamment la baisse du prix de l’électricité de 10 % et le transfert de propriété (22à 8 % de la valeur des biens), de même que le renforcement de cadre juridique de l’investissement avec la création de tribunaux de commerce. De même, a-t-elle indiqué, son département a réussi à finaliser le nouveau dispositif légal et réglementaire de zones économiques spéciales au Sénégal, en janvier 2017, sans compter le suivi de la mise en œuvre par l’Apix des grands travaux de l’État tel que le Train express régional qui se fait normalement. 

Cette édition du séminaire stratégique, a dit le ministre, permettra d’identifier les contraintes pour le démarrage effectif des zones économiques spéciales et de formuler les réformes visant à promouvoir le développement du numérique au Sénégal. Et d’élaborer une feuille de route sur une base consensuelle et constructive autour des questions qui contribueront à la réalisation des objectifs du plan Sénégal émergent (Pse) 




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