Après d’âpres négociations, le Royaume s’est engagé à réviser ses pratiques. Résultat, il atterrit sur une liste « grise » parmi une quarantaine de pays. Le Maroc a été pointé du doigt pour son manque de transparence fiscale, une taxation équitable et l’absence de mesures anti-BEPS : destinées à traquer l’évasion fiscale des multinationales. Les doutes de l’Union européenne sont-ils justifiés ??
Avec RFI.fr
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