Sénégal : la problématique de la portée et du coût des régimes fiscaux dérogatoires


Rédigé le 5 Aout 2016 à 10:27 | 0 commentaire(s) modifié le 5 Aout 2016 14:18

Ndakhté M. GAYE est un journaliste d'investigation engagé dans le suivi citoyen des obligations… En savoir plus sur cet auteur

Ecofinance.sn (Mbour) - L’importance des régimes fiscaux dérogatoires se mesure, à la fois, par rapport à leur acuité et aux enjeux qu’ils peuvent représenter.


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Dans le cadre du respect des normes communautaires au sein de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa), le Sénégal a entamé depuis 2009 des études avec comme objectif principal d’évaluer le coût des exonérations et exemptions. Les résultats sont présentés sous forme de rapports intitulé «Rapport sur les dépenses fiscales».

Ces rapports rendus publics sur le site de la Direction générale des impôts et domaines (Dgid) renseignent sur le coût financier des mesures fiscales qui ont été évaluées.

Dans l’entretien vidéo qu’il a accordé à Ecofinance.sn, Mor Fall, inspecteur des impôts, chef de service de la législation à al direction de la législation, des études et du contentieux de la Direction général des impôts et des domaines (Dgid) nous parle de cette problématique.

Cette thématique a été abordée le vendredi dernier lors du séminaire d’information que la Dgid a organisé au profit des membres du Collectif des journalistes économiques et Sénégal (Cojes). 


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