Sénégal : le casse-tête de la fiscalisation du secteur informel


Rédigé le 5 Aout 2016 à 17:59 | 0 commentaire(s) modifié le 9 Aout 2016 18:13

Ndakhté M. GAYE est un journaliste d'investigation engagé dans le suivi citoyen des obligations… En savoir plus sur cet auteur

Ecofinance.sn (Mbour) – Des mécanismes sont en cours de finalisation au sein de la Dgid pour favoriser une meilleure maîtrise des opérations réalisées dans le secteur informel où l’administration peine toujours à fiscaliser.


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A la problématique majeure de la fiscalisation du secteur informel, le législateur fiscal a tenté depuis la réforme de 1992 de proposer un régime fiscal simplifié pour accompagner ce secteur à se formaliser. Les résultats enregistrés dans la fiscalisation du secteur informel sont jusque-là insuffisants même si des avancées sont notées.

C’est d’ailleurs ce qui a justifié les nouvelles mesures adoptées avec la dernière réforme du Code général des Impôts et sur lesquelles Abdoulaye Gningue, inspecteur des impôt, chef de section de la fiscalité intérieure à la Dgid, est revenu dans l’entretien vidéo qu’il a accoré à Ecofinance.sn lors du séminaire de formation que la Direction générale des impôts et domaines (Dgid) a organisé le week-end à Saly Portudal (Mbour) à l’intention des membres du Collectif des journalistes économiques du Sénégal (Cojes). 

 


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