L’institut africain de finance islamique (Aiif), en partenariat avec les ministères en charge des Finances et du Commerce, organise une rencontre internationale sur la finance islamique, les 2 et 3 juin 2016 à Dakar.
Une opportunité pour les autorités sénégalaises de mettre à profit cette source alternative pour le financement des projets du Plan Sénégal émergent (Pse).
Secrétaire général du ministère en charge du Commerce, Makhtar Lakh a souligné l’importance de la finance islamique dans l’avancée rapide de l’exécution du Pse. «60 pour cent des fonds nécessaires à la réalisation du Pse doivent venir du secteur privé. Nous avons besoin de diversifier les sources de financement», a-t-il fait savoir.
La représentante du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan a la même vision, Oulimata Diop, est du même avis. «Les produits de la finance islamique peuvent constituer des alternatives de finances pour les Pme, l’agriculture etc. Nous voulons faire profiter à notre pays des opportunités de la finance islamique», a-t-elle souligné.
Prévu au Centre de conférence international Abdou Diouf (Cciad), la rencontre a pour objectifs de développer la finance islamique en Afrique de l’ouest, faire de Dakar un hub de la finance islamique, et de faire de Dakar une destination privilégiée pour les investissements en finance islamique.
Les organisateurs veulent ainsi donner la possibilité aux musulmans de faire des investissements en conformité avec la religion islamique. «La Finance islamique, c’est une manne financière plus de 2000 milliards de dollars», ont-ils indiqué.
D’après eux, ces deux jours de rencontre vont être mis à profit pour développer des stratégies de croissance, attirer le maximum d’investisseurs sur les projets du Plan Sénégal émergent en cours.
Une opportunité pour les autorités sénégalaises de mettre à profit cette source alternative pour le financement des projets du Plan Sénégal émergent (Pse).
Secrétaire général du ministère en charge du Commerce, Makhtar Lakh a souligné l’importance de la finance islamique dans l’avancée rapide de l’exécution du Pse. «60 pour cent des fonds nécessaires à la réalisation du Pse doivent venir du secteur privé. Nous avons besoin de diversifier les sources de financement», a-t-il fait savoir.
La représentante du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan a la même vision, Oulimata Diop, est du même avis. «Les produits de la finance islamique peuvent constituer des alternatives de finances pour les Pme, l’agriculture etc. Nous voulons faire profiter à notre pays des opportunités de la finance islamique», a-t-elle souligné.
Prévu au Centre de conférence international Abdou Diouf (Cciad), la rencontre a pour objectifs de développer la finance islamique en Afrique de l’ouest, faire de Dakar un hub de la finance islamique, et de faire de Dakar une destination privilégiée pour les investissements en finance islamique.
Les organisateurs veulent ainsi donner la possibilité aux musulmans de faire des investissements en conformité avec la religion islamique. «La Finance islamique, c’est une manne financière plus de 2000 milliards de dollars», ont-ils indiqué.
D’après eux, ces deux jours de rencontre vont être mis à profit pour développer des stratégies de croissance, attirer le maximum d’investisseurs sur les projets du Plan Sénégal émergent en cours.