Il précise qu'au-delà des témoignages de rôles modèles qui aborderont sans fard leurs expériences de repats, les sujets débattus concerneront l’accompagnement à la création d’entreprise, le décryptage des arcanes administratifs et fiscaux du pays mais aussi le financement local des projets, les aides de l’État et le sort fiscal des repats.

Le communiqué rappelle que la diaspora est un élément clé du partenariat économique entre l’Union Européenne (UE) et la République Démocratique du Congo (RDC) qui, tant sur le plan des infrastructures que sur le plan des ressources, offre un potentiel de développement inégalé à l’échelle du continent.

"L’ensemble des transactions commerciales de la RDC avec l'UE s'élevait à 850 millions d'euros en 2020. Avec une part de 4 %, l'UE ne joue qu'un rôle mineur dans le commerce total du Congo et en tant que marché d'exportation. Les importations en provenance de l'UE, cependant, sont plus importantes et se sont élevées à 695 millions d'euros en 2020, ce qui en fait le troisième marché d'importation le plus important. Par ailleurs, les relations privilégiées entre les deux capitales Bruxelles et Kinshasa placent le Congo à la première place du classement des pays pour les exportations bruxelloises de biens sur le continent africain", informe le communiqué.