«Top 5» est le nom donné à ces priorités, précise la Banque africaine de développement (Bad) dans un communiqué de presse. Éclairer l’Afrique, nourrir l’Afrique, industrialiser l’Afrique, intégrer l’Afrique et améliorer la qualité de vie des populations en Afrique sont les défis que cherche à relever la banque panafricaine.
Les Top 5 et les progrès récents de la Banque sont mis en lumière dans la Revue annuelle sur l’efficacité du développement 2016 – dernière édition de l’outil essentiel de suivi et d’observation de la Banque – qui a été lancée le lundi 27 juin 2016.
Cette année, la Bad a réaménagé la revue pour porter une plus grande attention aux défis fondamentaux de l’Afrique et à la façon dont la Banque y fait face.
«Pour prospérer, l’Afrique a besoin d’un effort massif, concerté et ambitieux visant à transformer nos économies», a déclaré Akinwumi Adesina, président du Groupe de la BAD, à l’occasion du lancement de la revue annuelle sur l’efficacité du développement 2016.
«Nous avons besoin d’une croissance qui profite à tout le monde. Les +Top 5+ vont nous y mener plus rapidement.»
Le communiqué de presse indique que la BAD «se réorganise pour devenir plus souple et plus réactive aux besoins du continent». Il signale l’adoption d’un nouveau modèle économique et la mise en place de trois vice-présidences mises en place sur l’électricité, l’énergie et la croissance verte ; sur l’agriculture, le développement humain et social ; et sur le secteur privé, les infrastructures et l’industrialisation.
«Pour augmenter son efficacité et exécuter ses opérations plus rapidement, la Banque se rapproche de ses clients en établissant cinq bureaux régionaux pour l’intégration et la prestation des activités», ajoute le document.
Il souligne que «tous ces changements vont participer à la transformation structurelle décrite dans la Stratégie à dix ans de la Banque», effort dont est partie intégrante les Top 5.
Les Top 5 et les progrès récents de la Banque sont mis en lumière dans la Revue annuelle sur l’efficacité du développement 2016 – dernière édition de l’outil essentiel de suivi et d’observation de la Banque – qui a été lancée le lundi 27 juin 2016.
Cette année, la Bad a réaménagé la revue pour porter une plus grande attention aux défis fondamentaux de l’Afrique et à la façon dont la Banque y fait face.
«Pour prospérer, l’Afrique a besoin d’un effort massif, concerté et ambitieux visant à transformer nos économies», a déclaré Akinwumi Adesina, président du Groupe de la BAD, à l’occasion du lancement de la revue annuelle sur l’efficacité du développement 2016.
«Nous avons besoin d’une croissance qui profite à tout le monde. Les +Top 5+ vont nous y mener plus rapidement.»
Le communiqué de presse indique que la BAD «se réorganise pour devenir plus souple et plus réactive aux besoins du continent». Il signale l’adoption d’un nouveau modèle économique et la mise en place de trois vice-présidences mises en place sur l’électricité, l’énergie et la croissance verte ; sur l’agriculture, le développement humain et social ; et sur le secteur privé, les infrastructures et l’industrialisation.
«Pour augmenter son efficacité et exécuter ses opérations plus rapidement, la Banque se rapproche de ses clients en établissant cinq bureaux régionaux pour l’intégration et la prestation des activités», ajoute le document.
Il souligne que «tous ces changements vont participer à la transformation structurelle décrite dans la Stratégie à dix ans de la Banque», effort dont est partie intégrante les Top 5.