Il a été également retenu de cette rencontre qui s’est tenue hier à Abidjan, en marge de la 8ème édition du Building African Financial Markets Seminar (BAFM), que le projet d’intégration est fondamental pour l’intégration financière en Afrique et le développement économique du continent.
La première phase de ce projet dont la mise en oeuvre devrait intervenir rapidement d’ici l’an 2020 est «l’accès sponsorisé» sur les marchés concernés pour les courtiers.
Cette importante rencontre avait pour principal objectif d’examiner les différentes diligences relatives à la mise en oeuvre du projet d’intégration des bourses africaines et d’évaluer les points d’urgence à régler dans le cadre de ce processus. Il s’agit notamment de la réglementation de marché et de change, de la disponibilité de l’information financière sur les sociétés, des coûts de transaction, des conditions de dénouement des transactions, etc.
Plusieurs parties prenantes ont pris part à cette rencontre, il s’agit de la Banque africaine de développement (BAD), du président et du vice-président du Comité exécutif de l’Association des Bourses Africaines (ASEA), d’Autorités de régulation des marchés et banques centrales, des acteurs des marchés (courtiers et Asset Managers) et des sept bourses africaines retenues pour la phase pilote du projet à savoir :
La Bourse de Johannesburg ;
ii. La Bourse du Nigéria ;
iii. La Bourse de Casablanca ;
iv. La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) ;
v. La Bourse de Nairobi ;
vi. La Bourse de Maurice ;
vii. La Bourse de l’Egypte.
Le projet AELP (African Exchanges Linkage Project) est une initiative conjointe de l’Association des Bourses Africaines (ASEA) et de la Banque Africaine de Développement (BAD) visant à établir une intégration des bourses africaines afin de faciliter la négociation transfrontalière et le règlement/livraison des titres.
L’AELP vise à remédier au manque de liquidité, à attirer les investisseurs internationaux, à drainer l’épargne des investisseurs institutionnels et particuliers africains.
La première phase de ce projet dont la mise en oeuvre devrait intervenir rapidement d’ici l’an 2020 est «l’accès sponsorisé» sur les marchés concernés pour les courtiers.
Cette importante rencontre avait pour principal objectif d’examiner les différentes diligences relatives à la mise en oeuvre du projet d’intégration des bourses africaines et d’évaluer les points d’urgence à régler dans le cadre de ce processus. Il s’agit notamment de la réglementation de marché et de change, de la disponibilité de l’information financière sur les sociétés, des coûts de transaction, des conditions de dénouement des transactions, etc.
Plusieurs parties prenantes ont pris part à cette rencontre, il s’agit de la Banque africaine de développement (BAD), du président et du vice-président du Comité exécutif de l’Association des Bourses Africaines (ASEA), d’Autorités de régulation des marchés et banques centrales, des acteurs des marchés (courtiers et Asset Managers) et des sept bourses africaines retenues pour la phase pilote du projet à savoir :
La Bourse de Johannesburg ;
ii. La Bourse du Nigéria ;
iii. La Bourse de Casablanca ;
iv. La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) ;
v. La Bourse de Nairobi ;
vi. La Bourse de Maurice ;
vii. La Bourse de l’Egypte.
Le projet AELP (African Exchanges Linkage Project) est une initiative conjointe de l’Association des Bourses Africaines (ASEA) et de la Banque Africaine de Développement (BAD) visant à établir une intégration des bourses africaines afin de faciliter la négociation transfrontalière et le règlement/livraison des titres.
L’AELP vise à remédier au manque de liquidité, à attirer les investisseurs internationaux, à drainer l’épargne des investisseurs institutionnels et particuliers africains.