Des décennies d’examen minutieux des déclarations de vision émises par des entreprises, des pays et des institutions, grandes et petites, m’ont donné une vision jaunâtre de leur utilité. Mais c’est peut-être une vision à courte vue et trop dure.

Prenez par exemple la nouvelle vision adoptée par la Banque mondiale et le Fonds monétaire international lors de leur récente réunion à Marrakech : « créer un monde sans pauvreté sur une planète vivable ». Est-ce le signe que les institutions se sont engagées tardivement à soutenir les efforts de lutte contre le changement climatique ?

Danny Bradlow, Professeur/chercheur principal, Center for Advancement of Scholarship, Université de Pretoria, retrace  l'histoire des deux institutions et les réformes qu'elles ont mises en place depuis leur création, ainsi que ce qui doit encore changer.

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