Les dirigeants de l’INPG Sénégal peuvent s’estimer heureux. Ils ont bénéficié de la confiance de l’Autorité de Régulation du Secteur Pétrolier Aval du Tchad (ARSAT). Investi d’une mission de régulation, de contrôle et de suivi des activités du secteur pétrolier aval, cet établissement public à caractère administratif tchadien a fait appel à l’expertise de l’institution afin d’assurer une remise à niveau technique et réglementaire de son personnel.
Dans cette première phase du programme de formation de six (6) mois officiellement lancé aujourd’hui par Bamba Diagne, président conseil d’administration et secrétaire permanent du COS-PETROGAZ, ce sont 20 inspecteurs qui bénéficieront d’un encadrement de haut niveau sur les fondamentaux et les pratiques avancées des activités du secteur aval, avec un accent particulier sur la sécurité, la réglementation, les opérations de contrôle et d’inspection terrain.
« À l’issue de cette formation, ces inspecteurs seront aptes à prêter serment devant les autorités judiciaires tchadiennes et à intervenir sur l’ensemble du territoire dans le cadre de leurs missions de régulation et de contrôle », explique le directeur général de l’INPG.
Interrogé par EQUONET Energies, le chef de la délégation tchadienne, Topodo Mahamat Matar, inspecteur pétrolier, dit s’attendre à ce que les récipiendaires soient outillés avec les éléments de management, l’acquisition de connaissances approfondies sur toute la chaîne de l’aval pétrolier (raffinage, stockage, enfûtage, distribution, et commercialisation des produits pétroliers et gaziers, ainsi que leurs dérivés) en vue d’optimiser les rendements au Tchad.
Dans une discussion informelle, Ndèye Yandé Diop, chargée des relations publiques et des partenariats à l’INPG, fait savoir que cet appel à l’expertise sénégalaise est une première en Afrique. « D’habitude, c’est nous qui allons vers les pays du bassin sédimentaire pour leur offrir notre expertise en matière de formation et de renforcement de capacité », a-t-elle confié à EQUONET Energies.
Et les perspectives s’annoncent bonnes. En effet, selon elle, d’autres pays comme le Cameroun et l’Algérie frappent à la porte du Sénégal.
Cette formation des inspecteurs tchadiens, conçue sur mesure, s’inscrit dans le cadre d’une convention de collaboration signée entre l’INPG et l’ARSAT, qui vise à accompagner l’Autorité tchadienne dans la professionnalisation et la montée en compétence de ses ressources humaines. Elle entre dans le cadre d’un partenariat stratégique entre le Sénégal et le Tchad en matière de développement des compétences dans le secteur énergétique.
Pour ces deux parties, ce partenariat incarne la vision commune des deux institutions de promouvoir un contenu local fort, de renforcer les expertises africaines et de favoriser une coopération Sud-Sud durable dans le domaine des hydrocarbures.
Dans cette première phase du programme de formation de six (6) mois officiellement lancé aujourd’hui par Bamba Diagne, président conseil d’administration et secrétaire permanent du COS-PETROGAZ, ce sont 20 inspecteurs qui bénéficieront d’un encadrement de haut niveau sur les fondamentaux et les pratiques avancées des activités du secteur aval, avec un accent particulier sur la sécurité, la réglementation, les opérations de contrôle et d’inspection terrain.
« À l’issue de cette formation, ces inspecteurs seront aptes à prêter serment devant les autorités judiciaires tchadiennes et à intervenir sur l’ensemble du territoire dans le cadre de leurs missions de régulation et de contrôle », explique le directeur général de l’INPG.
Interrogé par EQUONET Energies, le chef de la délégation tchadienne, Topodo Mahamat Matar, inspecteur pétrolier, dit s’attendre à ce que les récipiendaires soient outillés avec les éléments de management, l’acquisition de connaissances approfondies sur toute la chaîne de l’aval pétrolier (raffinage, stockage, enfûtage, distribution, et commercialisation des produits pétroliers et gaziers, ainsi que leurs dérivés) en vue d’optimiser les rendements au Tchad.
Dans une discussion informelle, Ndèye Yandé Diop, chargée des relations publiques et des partenariats à l’INPG, fait savoir que cet appel à l’expertise sénégalaise est une première en Afrique. « D’habitude, c’est nous qui allons vers les pays du bassin sédimentaire pour leur offrir notre expertise en matière de formation et de renforcement de capacité », a-t-elle confié à EQUONET Energies.
Et les perspectives s’annoncent bonnes. En effet, selon elle, d’autres pays comme le Cameroun et l’Algérie frappent à la porte du Sénégal.
Cette formation des inspecteurs tchadiens, conçue sur mesure, s’inscrit dans le cadre d’une convention de collaboration signée entre l’INPG et l’ARSAT, qui vise à accompagner l’Autorité tchadienne dans la professionnalisation et la montée en compétence de ses ressources humaines. Elle entre dans le cadre d’un partenariat stratégique entre le Sénégal et le Tchad en matière de développement des compétences dans le secteur énergétique.
Pour ces deux parties, ce partenariat incarne la vision commune des deux institutions de promouvoir un contenu local fort, de renforcer les expertises africaines et de favoriser une coopération Sud-Sud durable dans le domaine des hydrocarbures.