Le Conseil patronal des énergies renouvelables du Sénégal (COPERES) veut plus d'implication du secteur privé sénégalais pour faire face à l'ampleur des défis et à l'urgence climatique. Lors d'un panel de haut niveau sur le thème "« Transition énergétique au Sénégal : quelles synergies entre institutions publiques, régulation et secteur privé pour une croissance durable ? », organisé mardi 03 mai 2025 dans le cadre de son assemblée générale, son président, Mamadou Saliou Sow, a mis en exergue le rôle de plus en plus central que le secteur privé sénégalais est appelé à jouer en termes de financement de projets, apport de technologies innovantes, expertise technique, solutions adaptées aux territoires.
Mais, pour lui, le secteur privé est limité par des contraintes liées notamment à la complexité des procédures, aux incitations insuffisantes, à la faiblesse de la coordination interinstitutionnelle.
En initiant ce panel auquel plusieurs institutions publiques (SENELEC, ANER, ASER, AEME, CRSE), le COPERES entendait favoriser un dialogue stratégique entre les acteurs publics, le régulateur et les opérateurs privés, autour d’une transition énergétique inclusive, cohérente et efficace.
L'objectif était de créer un espace de dialogue de haut niveau pour renforcer les synergies entre institutions
publiques, régulation et secteur privé en faveur de la transition énergétique et de la réalisation
des objectifs du Plan Sénégal 2050.
Les échanges ont permis aux participants d'identifier les obstacles institutionnels, réglementaires et opérationnels qui freinent l’engagement du secteur privé, d'explorer des modèles innovants de partenariat public-privé (PPP) pour le développement de projets énergétiques durables, de formuler des recommandations concrètes et opérationnelles pour une convergence des actions entre secteur public, privé et régulation.
Un rapport de synthèse des échanges et recommandations intégrant les résultats dans la feuille de route stratégique du COPERES a été rédigé et diffusé.
Le COPERES prévoit l'organisation d’un atelier de suivi pour approfondir les pistes de collaboration
identifiées.
Mais, pour lui, le secteur privé est limité par des contraintes liées notamment à la complexité des procédures, aux incitations insuffisantes, à la faiblesse de la coordination interinstitutionnelle.
En initiant ce panel auquel plusieurs institutions publiques (SENELEC, ANER, ASER, AEME, CRSE), le COPERES entendait favoriser un dialogue stratégique entre les acteurs publics, le régulateur et les opérateurs privés, autour d’une transition énergétique inclusive, cohérente et efficace.
L'objectif était de créer un espace de dialogue de haut niveau pour renforcer les synergies entre institutions
publiques, régulation et secteur privé en faveur de la transition énergétique et de la réalisation
des objectifs du Plan Sénégal 2050.
Les échanges ont permis aux participants d'identifier les obstacles institutionnels, réglementaires et opérationnels qui freinent l’engagement du secteur privé, d'explorer des modèles innovants de partenariat public-privé (PPP) pour le développement de projets énergétiques durables, de formuler des recommandations concrètes et opérationnelles pour une convergence des actions entre secteur public, privé et régulation.
Un rapport de synthèse des échanges et recommandations intégrant les résultats dans la feuille de route stratégique du COPERES a été rédigé et diffusé.
Le COPERES prévoit l'organisation d’un atelier de suivi pour approfondir les pistes de collaboration
identifiées.