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Journée internationale des femmes : les 4 + 1 priorités des africaines


Rédigé le 8 Mars 2016 à 17:39 | 0 commentaire(s) modifié le 8 Mars 2016 - 17:45


Ecofinance.sn (Dakar) - L'impact des femmes dans l'économie du continent serait-il sous-estimé ? L'éclairage de deux spécialistes, du développement et du genre.


Journée internationale des femmes : les 4 + 1 priorités des africaines
La journée internationale de la femme est l'occasion de rappeler le rôle des femmes africaines dans le développement, celui qu'elles ont toujours joué et les points qui font obstacle à leur pleine contribution à la croissance africaine dans les parties les plus déshéritées de l'Afrique, mais aussi dans les pays africains les plus dynamiques.

Dans les parties déshéritées de l'Afrique, les femmes premières victimes

Les femmes sont les premières victimes des maux qui gangrènent de larges parties du continent, qu'il s'agisse de la misère et de la pauvreté, des carences de la justice, des fortes inégalités, des pandémies et de l'insécurité qui laissent place, dans certaines zones grises, à la loi des pirates, des bandes armées et des djihadistes.

Dans ces régions, les inégalités entre les femmes et les hommes, mais aussi les «nombreuses disparités entre les différents pays et même entre sous-régions au sein d'un même pays», restent fortes, ainsi que le montre le Panorama des inégalités femmes-hommes dans le monde dressé par l'Agence française de développement.

Ainsi, l'Afrique subsaharienne est la région où la mortalité maternelle reste la plus élevée au monde. Parmi les multiples causes, la carence des systèmes de santé et le manque d'éducation des femmes sont les principales : l'Afrique subsaharienne reste la région avec les taux d'alphabétisation des femmes et le nombre moyen d'années d'école les plus bas au monde.

Dans les zones de guerre et les États fragiles, les femmes sont celles qui paient le plus lourd tribut : le taux de mortalité maternelle atteint 1,1 décès pour 1 000 naissances au Tchad, 1,0 en Somalie, 0,890 en République centrafricaine et en Sierra Leone. Dans ces situations, aux (...)
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