Face à la menace de paralysie de l’administration fiscale, par des agents qui se sentent lésés dans la redistribution des fonds communs, le ministre de l’Economie et des Finances cherche à désamorcer la bombe.
En effet, Amadou Ba qui recevait ce dimanche les femmes des Parcelles Assainies, s’est voulu rassurant et a reconnu qu’il y avait quelques couacs du fait que le système existant est tout nouveau.
«C’est une question que je suis de très près avec le Directeur général des Impôts et des domaines. L’administration fiscale est en pleine mutation, je pense qu’il y a eu un mode de répartition de ce qu’on appelle les fonds communs qui sont entrés en vigueur il y a peut-être un an, un an et demi », a-t-il déclaré.
Et de poursuivre : «Il s’agit d’un mode de répartition qui a aussi été initié par le personnel. Maintenant comme tout nouveau système, ce système recèle des anomalies et il y a effectivement une partie du personnel qui pense être lésée et c’est une question que nous suivons en relation avec le Directeur des impôts et des domaines».
Mais, pour parer à toute éventualité, l’argentier de l’Etat affirme qu’il s’est saisi du dossier et, «j’y apporterai des éléments de réponses », promet-il.
En effet, Amadou Ba qui recevait ce dimanche les femmes des Parcelles Assainies, s’est voulu rassurant et a reconnu qu’il y avait quelques couacs du fait que le système existant est tout nouveau.
«C’est une question que je suis de très près avec le Directeur général des Impôts et des domaines. L’administration fiscale est en pleine mutation, je pense qu’il y a eu un mode de répartition de ce qu’on appelle les fonds communs qui sont entrés en vigueur il y a peut-être un an, un an et demi », a-t-il déclaré.
Et de poursuivre : «Il s’agit d’un mode de répartition qui a aussi été initié par le personnel. Maintenant comme tout nouveau système, ce système recèle des anomalies et il y a effectivement une partie du personnel qui pense être lésée et c’est une question que nous suivons en relation avec le Directeur des impôts et des domaines».
Mais, pour parer à toute éventualité, l’argentier de l’Etat affirme qu’il s’est saisi du dossier et, «j’y apporterai des éléments de réponses », promet-il.