Actualité
A la clôture de la phase 1 du programme Plateforme d’appui au secteur privé et à la valorisation de la diaspora sénégalaise en Italie (Plasepri), un volume de financement de 13,12 milliards de F Cfa a été dégagé au profit des très petites et moyennes entreprises (Tpme), a indiqué aujourd’hui la direction de la microfinance lors de la présentation des réalisations dudit programme.
Il ressort du bilan consolidé un financement de 581 projets et la création 2.300 emplois avec une masse salariale distribuée de 3.713 milliards de F Cfa. Dans ce bilan, il est noté une progression de 87,7 pour cent du chiffre d’affaires et un accroissement de 18,66 pour cent de l’investissement productif.
Le document souligne aussi un décaissement de 1,6 milliards au profit de 40 sénégalais d’Italie, soit un taux de décaissement d’environ 12 pour cent. Il fait état également d’un décaissement de 1,5 milliards en faveur des femmes, soit un taux de 16 pour cent, touchant ainsi directement 200 femmes et indirectement 3.000.
Il signale 57 pour cent des investissements acquis, soit 7,5 milliards injectés dans le secteur agricole dont 6 milliards dans la zone Nord.
Dans sa composante ‘’ligne microfinance’’, le programme relève un financement de plus de 4 milliards en appui au développement du secteur de la microfinance, c’est-à-dire du système financier décentralisé (Sfd). Cette somme a permis de refinancer 500 projets.
Au regard de la répartition géographie de ce financement, on observe un pic à Dakar avec 157 projets financés. La capitale sénégalaise est suivie de Thiès (122), Louga (64), Saint-Louis (50), Diourbel (12), Kaolack (6) et Fatick (5).
S’agissant de la répartition par secteurs d’activités, c’est le secteur des services qui se taille la part du lion avec 26 pour cent de l’enveloppe. Il est suivi de l’aviculture et l’élevage (24 pour cent), pêche et mareyage (22 pour cent), production (12 pour cent), agriculture et maraîchage (11 pour cent), transformation (3 pour cent) et bâtiments et travaux publics (2 pour cent).
En ce qui concerne la composante ‘’ligne Pme’’, le montant dégagé en appui au développement de celles-ci s’élève à plus de 8 milliards pour le financement de 81 projets. Et c’est Dakar qui en tire le plus grand profit avec 27 projets financés. Thiès et Saint-Louis sont à égalité avec 14 projets. Viennent ensuite Kaolack (10), Louga (4), Mbour (2). Fatick, Kolda et Ziguinchor sont à égalité avec 1 projet financé.
Par secteurs d’activités, l’agriculture se distingue avec 57 pour cent des projets financés. Ce secteur est suivi de loin par l’industrie (11 pour cent), transport et logistique (10 pour cent), bâtiments et travaux publics (7 pour cent), agro-industrie et boulangerie sont é égalité (5 pour cent), santé (4 pour cent) et la formation professionnelle (1 pour cent).
Jugés «encourageants», ces résultats enregistrés durant cette première phase d’expérimentation seront consolidés dans un souci de garantir plus d’impacts, d’effets et de durabilité sur les cibles prioritaires.
Ce qui constitue une réponse à la demande des bénéficiaires relative à la pérennité du programme.
Il ressort du bilan consolidé un financement de 581 projets et la création 2.300 emplois avec une masse salariale distribuée de 3.713 milliards de F Cfa. Dans ce bilan, il est noté une progression de 87,7 pour cent du chiffre d’affaires et un accroissement de 18,66 pour cent de l’investissement productif.
Le document souligne aussi un décaissement de 1,6 milliards au profit de 40 sénégalais d’Italie, soit un taux de décaissement d’environ 12 pour cent. Il fait état également d’un décaissement de 1,5 milliards en faveur des femmes, soit un taux de 16 pour cent, touchant ainsi directement 200 femmes et indirectement 3.000.
Il signale 57 pour cent des investissements acquis, soit 7,5 milliards injectés dans le secteur agricole dont 6 milliards dans la zone Nord.
Dans sa composante ‘’ligne microfinance’’, le programme relève un financement de plus de 4 milliards en appui au développement du secteur de la microfinance, c’est-à-dire du système financier décentralisé (Sfd). Cette somme a permis de refinancer 500 projets.
Au regard de la répartition géographie de ce financement, on observe un pic à Dakar avec 157 projets financés. La capitale sénégalaise est suivie de Thiès (122), Louga (64), Saint-Louis (50), Diourbel (12), Kaolack (6) et Fatick (5).
S’agissant de la répartition par secteurs d’activités, c’est le secteur des services qui se taille la part du lion avec 26 pour cent de l’enveloppe. Il est suivi de l’aviculture et l’élevage (24 pour cent), pêche et mareyage (22 pour cent), production (12 pour cent), agriculture et maraîchage (11 pour cent), transformation (3 pour cent) et bâtiments et travaux publics (2 pour cent).
En ce qui concerne la composante ‘’ligne Pme’’, le montant dégagé en appui au développement de celles-ci s’élève à plus de 8 milliards pour le financement de 81 projets. Et c’est Dakar qui en tire le plus grand profit avec 27 projets financés. Thiès et Saint-Louis sont à égalité avec 14 projets. Viennent ensuite Kaolack (10), Louga (4), Mbour (2). Fatick, Kolda et Ziguinchor sont à égalité avec 1 projet financé.
Par secteurs d’activités, l’agriculture se distingue avec 57 pour cent des projets financés. Ce secteur est suivi de loin par l’industrie (11 pour cent), transport et logistique (10 pour cent), bâtiments et travaux publics (7 pour cent), agro-industrie et boulangerie sont é égalité (5 pour cent), santé (4 pour cent) et la formation professionnelle (1 pour cent).
Jugés «encourageants», ces résultats enregistrés durant cette première phase d’expérimentation seront consolidés dans un souci de garantir plus d’impacts, d’effets et de durabilité sur les cibles prioritaires.
Ce qui constitue une réponse à la demande des bénéficiaires relative à la pérennité du programme.
