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A droite, le ministre sénégalais de l'Economie, des Finances et du Plan à côté du représentant résident de la Bad au Sénégal, Lamine Ndongo.
«Comme vous le savez, la performance des projets est jugée satisfaisante. La durée moyenne des opérations est passée de 5,5 ans en 2011 à 2 ans en 2015», s’est-il félicité.
Amadou Ba, qui prononçait un discours lors de la revue annuelle conjointe du programme de coopération entre le Sénégal et la BAD, a aussi avancé un autre motif de satisfaction.
Selon lui, «le portefeuille ne comporte actuellement aucun projet à problème (PP), ni aucun projet potentiellement à problème (PPP), alors qu’il y en avait 8 sur 19 en 2009».
«Ce niveau de performance du portefeuille en 2016 est le résultat d’efforts combinés de la Bad et de notre pays», a expliqué le ministre de l’Economie et des Finances.
A l’en croire, «le Sénégal devrait bénéficier de plus en plus de possibilités de financement de la BAD avec la sélection de notre pays comme faisant partie des Etats membres pouvant accéder aux ressources non concessionnelles de la BAD».
Malgré une amélioration de la situation globale du portefeuille des projets, Amadou Ba a reconnu que «des efforts restent encore à fournir sur certaines questions».
Il s’est à cet égard montré rassurant, indiquant avoir «donné des instructions fermes» à ses services pour «trouver des solutions à tous les problèmes identifiés», lesquels relèvent, dit-il, de son département.
Amadou Ba indique que le programme bilatéral de la coopération avec la BAD, qui a débuté en 1972, a «connu en quatre décennies un développement considérable».
«Actuellement, le portefeuille des projets nationaux actif compte 11 opérations pour un montant total net d’engagements d’environ 237 milliards de FCFA», a-t-il précisé.
Il a ajouté que la BAD soutient les efforts d’intégration régionale du Sénégal. «En effet, le portefeuille du secteur public comporte 6 opérations régionales et multinationales pour un montant d’environ 73 milliards de FCFA».
«Votre institution a également augmenté ses investissements en faveur du secteur privé durant ces dernières années, particulièrement dans le secteur des infrastructures (énergie, port, transports). Ainsi, le secteur privé compte 6 opérations pour un montant d’environ 110 milliards de FCFA.»
Amadou Ba, qui prononçait un discours lors de la revue annuelle conjointe du programme de coopération entre le Sénégal et la BAD, a aussi avancé un autre motif de satisfaction.
Selon lui, «le portefeuille ne comporte actuellement aucun projet à problème (PP), ni aucun projet potentiellement à problème (PPP), alors qu’il y en avait 8 sur 19 en 2009».
«Ce niveau de performance du portefeuille en 2016 est le résultat d’efforts combinés de la Bad et de notre pays», a expliqué le ministre de l’Economie et des Finances.
A l’en croire, «le Sénégal devrait bénéficier de plus en plus de possibilités de financement de la BAD avec la sélection de notre pays comme faisant partie des Etats membres pouvant accéder aux ressources non concessionnelles de la BAD».
Malgré une amélioration de la situation globale du portefeuille des projets, Amadou Ba a reconnu que «des efforts restent encore à fournir sur certaines questions».
Il s’est à cet égard montré rassurant, indiquant avoir «donné des instructions fermes» à ses services pour «trouver des solutions à tous les problèmes identifiés», lesquels relèvent, dit-il, de son département.
Amadou Ba indique que le programme bilatéral de la coopération avec la BAD, qui a débuté en 1972, a «connu en quatre décennies un développement considérable».
«Actuellement, le portefeuille des projets nationaux actif compte 11 opérations pour un montant total net d’engagements d’environ 237 milliards de FCFA», a-t-il précisé.
Il a ajouté que la BAD soutient les efforts d’intégration régionale du Sénégal. «En effet, le portefeuille du secteur public comporte 6 opérations régionales et multinationales pour un montant d’environ 73 milliards de FCFA».
«Votre institution a également augmenté ses investissements en faveur du secteur privé durant ces dernières années, particulièrement dans le secteur des infrastructures (énergie, port, transports). Ainsi, le secteur privé compte 6 opérations pour un montant d’environ 110 milliards de FCFA.»
