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Cheikh T. Bâ en bonnet à côté de son collaborateur à droite et du coordonnateur et du Secrétaire général du Cojes à gauche.
La Direction générale des impôts et domaines (Dgid) du Sénégal va faire plus dans le domaine de la sensibilisation des usagers sur l’obligation de s’acquitter de leurs impôts.
En effet, pour renforcer ses moyens d’informer les usagers (portes ouvertes, tournées nationales), elle va lancer très prochainement un centre d’appel et de support, en plus d’un dispositif de communication par sms.
Selon son directeur général, Cheikh A. Tidiane Bâ, qui en fait l’annonce samedi, à Saly (Mbour), l’objectif visé à travers ces plateformes est de faire en sorte que tous les contribuables soient informés de leurs obligations fiscales et ainsi contribuer au renforcement de l’équité et de l’égalité devant l’impôt.
M. Bâ s’exprimait lors d’un séminaire de formation sur l’étude des régimes dérogatoires et la fiscalisation du secteur informel organisé au profit des membres du Collectif des journalistes économique du Sénégal (Cojes).
D’ailleurs, dans cette mission de sensibilisation, il compte faire de ce collectif un allié de premier plan.
«Je suis convaincu de pouvoir compter sur votre appui pour faire en sorte que l’impôt soit compris dans son principe et accepté dans sa matérialisation par l’ensemble de nos concitoyens, et par les acteurs économiques en particuliers. Tel était le sens de la dernière édition des journées nationales d’informations», a-t-il lancé en direction du coordonnateur du Cojes.
Outre les efforts de sensibilisation sur lesquels M. Bâ sollicite fortement l’accompagnement des journalistes spécialisés du Cojes, il a fait état des mécanismes en cours de finalisation au sein de la Dgid pour favoriser une meilleure maîtrise des opérations réalisées dans le secteur informel.
Il s’agit notamment, cite-t-il, d’une banque de données fiscales et d’un centre de traitement de données, en plus de l’interconnexion des applications informatiques entre notamment la Dgid, la douane et l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd).
Selon lui, la contribution du secteur informel aux recettes fiscales intérieures reste très faible par rapport à son poids à la formation du produit intérieur brut (Pib) estimé à plus de 40 pour cent.
Une situation qui, de l’avis du Dg de la Dgid, interpelle à la fois l’Administration et les citoyens sénégalais.
En effet, pour renforcer ses moyens d’informer les usagers (portes ouvertes, tournées nationales), elle va lancer très prochainement un centre d’appel et de support, en plus d’un dispositif de communication par sms.
Selon son directeur général, Cheikh A. Tidiane Bâ, qui en fait l’annonce samedi, à Saly (Mbour), l’objectif visé à travers ces plateformes est de faire en sorte que tous les contribuables soient informés de leurs obligations fiscales et ainsi contribuer au renforcement de l’équité et de l’égalité devant l’impôt.
M. Bâ s’exprimait lors d’un séminaire de formation sur l’étude des régimes dérogatoires et la fiscalisation du secteur informel organisé au profit des membres du Collectif des journalistes économique du Sénégal (Cojes).
D’ailleurs, dans cette mission de sensibilisation, il compte faire de ce collectif un allié de premier plan.
«Je suis convaincu de pouvoir compter sur votre appui pour faire en sorte que l’impôt soit compris dans son principe et accepté dans sa matérialisation par l’ensemble de nos concitoyens, et par les acteurs économiques en particuliers. Tel était le sens de la dernière édition des journées nationales d’informations», a-t-il lancé en direction du coordonnateur du Cojes.
Outre les efforts de sensibilisation sur lesquels M. Bâ sollicite fortement l’accompagnement des journalistes spécialisés du Cojes, il a fait état des mécanismes en cours de finalisation au sein de la Dgid pour favoriser une meilleure maîtrise des opérations réalisées dans le secteur informel.
Il s’agit notamment, cite-t-il, d’une banque de données fiscales et d’un centre de traitement de données, en plus de l’interconnexion des applications informatiques entre notamment la Dgid, la douane et l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd).
Selon lui, la contribution du secteur informel aux recettes fiscales intérieures reste très faible par rapport à son poids à la formation du produit intérieur brut (Pib) estimé à plus de 40 pour cent.
Une situation qui, de l’avis du Dg de la Dgid, interpelle à la fois l’Administration et les citoyens sénégalais.
