Le ministre délégué, en charge du Budget, Birima Mangara, a présidé lundi, un atelier de partage et de sensibilisation des secrétaires généraux des ministères et directeurs de cabinet des ministres sur les innovations du nouveau cadre harmonisé des finances publiques de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) de 2009.
«L’objectif visé à travers la transposition des directives de ce nouveau cadre harmonisé, comme l’a rappelé le chef de l’Etat, est «d’améliorer l’efficacité et l’efficience de la dépense publique, à travers la mise en place de budget-programmes et l’amélioration de la qualité du service rendu aux usagers», a rappelé M. Mangara, indiquant qu’ «aucune catégorie d’acteurs ne devrait être laissée en rade».
«Le changement radical de paradigme en matière de gestion budgétaire et comptable nécessite, au-delà du partage politique et de formation des acteurs au premier rang desquels les ministères sectoriels, une appropriation sans réserve doublée d’une offensive concertée de communication», a-t-il indiqué.
D’après le ministre du Budget, au-delà des hauts fonctionnaires et autres cadres de son département et des ministères sectoriels, les «rencontres de partage et de sensibilisation devraient également cibler des institutions de la République, comme l’Assemblée nationale, qui abrite le débat d’orientation budgétaire, vote les lois de finances, et contrôle l’exécution budgétaire en même temps qu’elle participe à l’évaluation de la performance des politiques publiques et des programmes».
Birima Manga n’a pas manqué de lancer un appel vibrant à «un partenariat dynamique tous azimuts avec la Cour des comptes, la presse et les acteurs sociaux pour participer «à la diffusion des informations ainsi qu’au débat public sur la gouvernance et la gestion des finances publiques».
«La modernisation de nos finances publiques, leur arrimage aux meilleurs standards internationaux, n’est pas une entreprise facile, nous en sommes conscients. Elle est plutôt un défi à relever et à quel prix ?», a-t-il souligné.
Avant de conclure, le ministre du Budget a salué la position de leadership du Sénégal au sein de l’Union économique et monétaire de l’Afrique de l’ouest (uemoa) à vouloir basculer dés le 1er janvier 2017 dans la gestion budgétaire axée sur les résultats.
«L’objectif visé à travers la transposition des directives de ce nouveau cadre harmonisé, comme l’a rappelé le chef de l’Etat, est «d’améliorer l’efficacité et l’efficience de la dépense publique, à travers la mise en place de budget-programmes et l’amélioration de la qualité du service rendu aux usagers», a rappelé M. Mangara, indiquant qu’ «aucune catégorie d’acteurs ne devrait être laissée en rade».
«Le changement radical de paradigme en matière de gestion budgétaire et comptable nécessite, au-delà du partage politique et de formation des acteurs au premier rang desquels les ministères sectoriels, une appropriation sans réserve doublée d’une offensive concertée de communication», a-t-il indiqué.
D’après le ministre du Budget, au-delà des hauts fonctionnaires et autres cadres de son département et des ministères sectoriels, les «rencontres de partage et de sensibilisation devraient également cibler des institutions de la République, comme l’Assemblée nationale, qui abrite le débat d’orientation budgétaire, vote les lois de finances, et contrôle l’exécution budgétaire en même temps qu’elle participe à l’évaluation de la performance des politiques publiques et des programmes».
Birima Manga n’a pas manqué de lancer un appel vibrant à «un partenariat dynamique tous azimuts avec la Cour des comptes, la presse et les acteurs sociaux pour participer «à la diffusion des informations ainsi qu’au débat public sur la gouvernance et la gestion des finances publiques».
«La modernisation de nos finances publiques, leur arrimage aux meilleurs standards internationaux, n’est pas une entreprise facile, nous en sommes conscients. Elle est plutôt un défi à relever et à quel prix ?», a-t-il souligné.
Avant de conclure, le ministre du Budget a salué la position de leadership du Sénégal au sein de l’Union économique et monétaire de l’Afrique de l’ouest (uemoa) à vouloir basculer dés le 1er janvier 2017 dans la gestion budgétaire axée sur les résultats.