Si le taux de chômage de cette tranche d’âge « est évalué à 10,8% », « ce phénomène est légèrement plus noté en milieu urbain où 13,8% de la population active sont au chômage contre 7,6% en zone rurale », observe l’ANSD.
L’enquête révèle que « le chômage affecte davantage les femmes (16,5%) que les hommes (5,9%) ».
Mais ce sont les jeunes qui sont les plus touchés. « Les taux les plus élevés sont observés chez les jeunes des tranches d’âges 20-24 ans et 25-29 ans, soit respectivement 19,5% et 17,5% », constate l’ANSD.
« Le phénomène touche moins les autres groupes d’âges. En effet, le taux de chômage des personnes de la tranche d’âge 35-64 ans, est estimé à 6,8% », relève-t-elle.
Paradoxalement, ce sont « les personnes sans diplômes (qui) sont les moins affectées par le chômage, soit 9,7% des actifs sans diplôme ».
« Les diplômées du supérieur du niveau BAC+2 (20,5%) et ceux ayant au minimum le niveau BAC+3 (19,9%) sont davantage affectées par le chômage. En revanche, les autres diplômées particulièrement celles ayant le niveau CEPE/CFEE (12,7%), BAC/DT/BT (13,3%) sont aussi moins affectées. »
L’enquête révèle que « le chômage affecte davantage les femmes (16,5%) que les hommes (5,9%) ».
Mais ce sont les jeunes qui sont les plus touchés. « Les taux les plus élevés sont observés chez les jeunes des tranches d’âges 20-24 ans et 25-29 ans, soit respectivement 19,5% et 17,5% », constate l’ANSD.
« Le phénomène touche moins les autres groupes d’âges. En effet, le taux de chômage des personnes de la tranche d’âge 35-64 ans, est estimé à 6,8% », relève-t-elle.
Paradoxalement, ce sont « les personnes sans diplômes (qui) sont les moins affectées par le chômage, soit 9,7% des actifs sans diplôme ».
« Les diplômées du supérieur du niveau BAC+2 (20,5%) et ceux ayant au minimum le niveau BAC+3 (19,9%) sont davantage affectées par le chômage. En revanche, les autres diplômées particulièrement celles ayant le niveau CEPE/CFEE (12,7%), BAC/DT/BT (13,3%) sont aussi moins affectées. »