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Aux termes de la réunion entre le G 50, le groupe des partenaires économiques et financiers (Ptf), et les techniciens du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan (Mefp), Amadou Bâ, le chef de ce département ministériel est revenu sur quelques aspects fondamentaux.
Ainsi, à la suite de la présentation des résultats macroéconomiques par ses collaborateurs, il a indiqué la voie de l’émergence sur laquelle le Sénégal s’est engagé.
«Je peux vous affirmer que le Sénégal est bien engagé sur la trajectoire de l’émergence économique. En effet, notre économie a enregistré le deuxième plus fort taux de croissance économique de l’espace de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa), avec 6,5 pour cent en 2015 et 6,6 pour cent attendue en 2016. La plupart des indicateurs sectoriels et intersectoriels le confirment éloquemment», a-t-il déclaré.
Evoquant le déficit budgétaire, il soutient que celui-ci poursuit sa tendance baissière, en passant de 6,7 pour cent en 2011 à 4,2 pour cent en 2016, à la faveur de l’accélération de la croissance et de la rationalisation des dépenses publiques.
«A l’horizon de convergence fixé à 2019, le déficit public devrait être contenu dans la limite des 3 pour cent du produit intérieur brut (Pib)», a-t-il indiqué.
Au plan des réformes, il a salué «les performances du Sénégal qui sont de plus en plus reconnues par les institutions internationales et confirmées à travers les classements de référence notamment : (i) Top 10 des meilleurs réformateurs au monde en 2015, (ii) Top 10 de l’Indice Mo Ibrahim sur la qualité de la gouvernance en Afrique en 2015, (iii) satisfecit du FMI, quant à la conduite de nos politiques publiques, etc».
«En résumé, l’objectif d’un taux de croissance annuel moyen de 7-8 pour cent est à notre portée, pourvu que les projets structurants et les réformes clés continuent à enregistrer des niveaux de réalisations satisfaisants», a-t-il poursuivi.
«Au demeurant, le gouvernement reste attentif à la préservation et au renforcement de cette dynamique vertueuse afin que les fruits de la croissance soient redistribués de façon plus inclusive et équitable. Une croissance réalisée par tous et pour tous !», a-t-il ajouté.
Ainsi, à la suite de la présentation des résultats macroéconomiques par ses collaborateurs, il a indiqué la voie de l’émergence sur laquelle le Sénégal s’est engagé.
«Je peux vous affirmer que le Sénégal est bien engagé sur la trajectoire de l’émergence économique. En effet, notre économie a enregistré le deuxième plus fort taux de croissance économique de l’espace de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa), avec 6,5 pour cent en 2015 et 6,6 pour cent attendue en 2016. La plupart des indicateurs sectoriels et intersectoriels le confirment éloquemment», a-t-il déclaré.
Evoquant le déficit budgétaire, il soutient que celui-ci poursuit sa tendance baissière, en passant de 6,7 pour cent en 2011 à 4,2 pour cent en 2016, à la faveur de l’accélération de la croissance et de la rationalisation des dépenses publiques.
«A l’horizon de convergence fixé à 2019, le déficit public devrait être contenu dans la limite des 3 pour cent du produit intérieur brut (Pib)», a-t-il indiqué.
Au plan des réformes, il a salué «les performances du Sénégal qui sont de plus en plus reconnues par les institutions internationales et confirmées à travers les classements de référence notamment : (i) Top 10 des meilleurs réformateurs au monde en 2015, (ii) Top 10 de l’Indice Mo Ibrahim sur la qualité de la gouvernance en Afrique en 2015, (iii) satisfecit du FMI, quant à la conduite de nos politiques publiques, etc».
«En résumé, l’objectif d’un taux de croissance annuel moyen de 7-8 pour cent est à notre portée, pourvu que les projets structurants et les réformes clés continuent à enregistrer des niveaux de réalisations satisfaisants», a-t-il poursuivi.
«Au demeurant, le gouvernement reste attentif à la préservation et au renforcement de cette dynamique vertueuse afin que les fruits de la croissance soient redistribués de façon plus inclusive et équitable. Une croissance réalisée par tous et pour tous !», a-t-il ajouté.
