«Le volume actuel, si on s’en réfère à la formation brute de capitale fixe, tourne autour de 1 665 milliards. Il est réparti en investissement direct étranger et en investissement domestique national, à hauteur respectivement de 13 et 87%. Cela veut dire que le secteur privé national investit beaucoup plus qu’on ne le croit », a expliqué hier le Directeur de cabinet du ministre de la Promotion des investissements, des Partenariats et des Téléservices de l’Etat.
Intervenant lors d’un point économique organisé par la Direction de la prévision et des études économiques (Dpee), El hadj Ndiogou Diouf précise que «le secteur privé national a investi bien plus», contrairement à une opinion souvent répandue.
Mais malgré ces statistiques qui peuvent laisser croire que l’Etat favoriserait le secteur national, les opérateurs économiques sénégalais plaident pour plus de considération.
Ainsi, Pape Ibrahima Bèye du Conseil national du patronat (CNP) explique, arguments à l’appui, pourquoi les entrepreneurs nationaux se sentent parfois exclus du système.
Faisant d’une pierre deux coups, il prône une vision stratégique commune et un système d’information à jour. «On ne peut pas anticiper si on ne dispose pas d’éléments d’information fiables», estime M. Bèye.
Il explique que «certains secteurs comme le textile sont tombés parce que les choix stratégiques n’étaient pas les meilleurs».
Pour le directeur de cabinet du ministre du Budget, «il s’agit aujourd’hui de voir comment les relations intersectorielles constituent des opportunités pour les différentes entreprises pour arriver à tirer leur épingle du jeu ».
L’enjeu consiste aussi, dit-il, à «faire aboutir cet objectif de transformation de l’économie de façon spécifique et de mise en œuvre de tous les objectifs du PSE en général».
Intervenant lors d’un point économique organisé par la Direction de la prévision et des études économiques (Dpee), El hadj Ndiogou Diouf précise que «le secteur privé national a investi bien plus», contrairement à une opinion souvent répandue.
Mais malgré ces statistiques qui peuvent laisser croire que l’Etat favoriserait le secteur national, les opérateurs économiques sénégalais plaident pour plus de considération.
Ainsi, Pape Ibrahima Bèye du Conseil national du patronat (CNP) explique, arguments à l’appui, pourquoi les entrepreneurs nationaux se sentent parfois exclus du système.
Faisant d’une pierre deux coups, il prône une vision stratégique commune et un système d’information à jour. «On ne peut pas anticiper si on ne dispose pas d’éléments d’information fiables», estime M. Bèye.
Il explique que «certains secteurs comme le textile sont tombés parce que les choix stratégiques n’étaient pas les meilleurs».
Pour le directeur de cabinet du ministre du Budget, «il s’agit aujourd’hui de voir comment les relations intersectorielles constituent des opportunités pour les différentes entreprises pour arriver à tirer leur épingle du jeu ».
L’enjeu consiste aussi, dit-il, à «faire aboutir cet objectif de transformation de l’économie de façon spécifique et de mise en œuvre de tous les objectifs du PSE en général».