Connectez-vous S'inscrire
https://www.equonet.net/
ecofinance.sn
Facebook
Twitter
Média de veille et d'alerte sur les questions de gouvernance, de transparence et de redevabilité des ressources extractives au Sénégal et en Afrique.
Veiller sur le respect des obligations du secteur extractif sénégalais.



Sénégal : 212,1 milliards F Cfa d’Ide enregistrés en 2015.


Rédigé le 17 Mars 2017 à 21:41 | 0 commentaire(s) modifié le 22 Mars 2017 - 12:28


Une hausse de 10 pour cent des investissements directs étrangers a été enregistrée en 2015 au Sénégal.


(Ecofinance.sn - Dakar) - Au Sénégal, une hausse de 10 pour cent des investissements directs étrangers (Ide), qui sont passés de 157,3 milliards en 2013 à 176,1 milliards en 2014 et à 212,1 milliards F Cfa en 2015, a été enregistrée 2015.

Selon le rapport final de l’arrangement cadre aux appuis budgétaires (Acab) qui donne l’information, le taux d’investissement, mesuré par la Fbcf, s’est tout de même amélioré en ressortant à 25,8 pour cent du produit intérieur brut (Pib) en 2015 contre 25,6 pour cent un an auparavant.

Il attribue cette poussée par l’achèvement total de 46 réformes en 2015 sur 56 mesures du programme de réformes de l’environnement des affaires et de la compétitivité (Preac-2013-2015).
Ces mesures concernent les procédures administratives, la compétitivité des facteurs productifs, le cadre légal et réglementaire ainsi que l’investissement à fort impact social.

Ce qui a valu au Sénégal d’être classé dans le top 10 des meilleurs réformateurs au monde dans le classement doing business avec l’amélioration de l’indice du climat des affaires qui est passé de 49,3 pour cent à 52 pour cent entre 2014 et 2015.

L’Acab regroupe le gouvernement et ses partenaires techniques et financiers (Ptf). Deux parties qui ont manifesté leur volonté d’établir une coopération financière saine et de renforcer un dialogue permanent, tout en remédiant au faible taux de décaissement de l’aide extérieure, lié à la complexité des procédures des Ptf, du fait de l’absence d’harmonisation par rapport aux procédures nationales et d’alignement parfait sur les priorités nationales de développement.

Ces deux parties ont signé deux Acab, depuis 2008 dont chaque phase a une durée de trois ans. La signature de l’acte III de l’Acab est attendue dans les prochains jours.
Yaye Rokhaya NDIAYE



Actualité | EcoFinance | Finance | Technologie | Contenu local | Environnement | Contribution | Donneurs | Conseil des Ministres | Nominations | Mines-Hydrocarbures | Energies