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assises de l’union internationale de la presse francophonel, uipf, à dakar ou le triomphe de l’imposture


Rédigé le 15 Janvier 2024 à 13:50 | 0 commentaire(s) modifié le 17 Janvier 2024 - 13:03


(Equonet Energies-Dakar) - Le MC ou « Master of Ceremonie » de ces assises s’est créée une tribune internationale pour légitimer son irruption frauduleuse dans le domaine du journalisme vrai.


Notre pays vient d’abriter les 50èmes assises de l’Union Internationale de la Presse Francophone. BRAVO.
Ce raout international voulu, programmé et organisé de main de maître par le président de « ce machin » qui se voudrait être le réceptacle des journalistes de l’espace francophone et dont la majorité des participants -à n’en pas douter- étaient beaucoup plus intéressés par les frasques et les fastes du DAKAR by night et aux frais de la princesse pour certains d’entre eux ( on a tout compris) que par des débats insipides d’alcôve qui ne feront pas avancer d’un iota la cause du journalisme et des journalistes, aura consacré tout simplement LE TRIOMPHE DE L’IMPOSTURE.
Car comment qualifier autrement cet évènement si on sait que, censé concerner des journalistes, il est dirigé par quelqu’un qui –jusqu’à preuve du contraire- n’a pas qualité de JOURNALISTE au sens académique, social et professionnel du métier.
En accueillant ces rencontres de Dakar, le MC ou « Master of Ceremonie » de ces assises s’est crée une tribune internationale pour légitimer son irruption frauduleuse dans le domaine du journalisme vrai. UNE VRAIE IMPOSTURE qu’il faut oser dénoncer haut et fort.
En effet, notre compatriote qui se proclame fièrement « Président de l’UIPF » est connu et reconnu par les vrais professionnels du métier comme un «journaliste par effraction » car n’ayant fait à notre connaissance aucune formation digne de ce nom, sanctionnée par un diplôme lui adjugeant ce titre tant envié qu’il s’est octroyé lui-même par un culot hors du commun. Et que ses « confrères » tétanisés par sa verve, son audace, son bagout et surtout son outrecuidance refusent de condamner avec force. Se faisant ainsi les complices involontaires de ce flibustier de la plume qui ne recule devant RIEN pour défendre sa cause.
Aussi fort de cette posture, il s’octroie des airs de donneur de leçons en poussant l’audace jusqu’à délivrer des messages de bonne conduite et de professionnalisme à certains de ses confrères qu’il prend tout simplement pour des CONS de frères pour avoir cédé à sa hargne et à ses ruades pour intégrer de force leur congrégation. L’histoire retiendra qu’en 2004 -si je ne me trompe-sous le régime de Wade, le Sieur avait été arrêté et emprisonné pour des délits de diffusion de fausses nouvelles et de publication de documents confidentiels voire secrets . Et ce sont des journalises, DE VRAIS nak, qui s’étaient mobilisés pour exiger et obtenir sa libération inconditionnelle et immédiate. Aujourd’hui, c’est à peine s’il ne les toise pas du haut de sa « présidence de l’UIPF».
On serait tenté de dire qu’ils n’ont eu que ce qu’ils méritaient –ces VRAIS journalistes- pour avoir tendu la main à un « intrus » de la profession qu’il aurait fallu dénoncer sans concession dès l’entame de son incursion dans la confrérie. Au demeurant, puisqu’il était si tenté par la profession et l’aura de journaliste, le sieur aurait pu, s’il avait une once de respect pour ses confrères, s’inscrire à une formation complémentaire dans quelque école de journalisme pour décrocher un diplôme reconnu pour être «dans les normes». Ce qui lui aurait donné la légitimité académique et sociale de s’appeler journaliste. Tant il est vrai que « les formations sur le tas » comme j’avais l’habitude de le rappeler à mes étudiants en Gestion, quoiqu’intéressantes, engendrent très souvent ce qu’on appelle dans le jargon : « la perfection dans l’erreur ». On croit TOUT savoir alors qu’on ne connait RIEN. J’illustrais mes propos par l’exemple des apprentis-chauffeurs de cars rapides qui et sans leur faire injure en quoi que ce soit,  à force de manipuler régulièrement le volant des véhicules jusqu’à décrocher un permis de conduire, n’éprouvaient plus le besoin d’aller suivre des cours de code de la route pour mieux comprendre l’univers de la circulation  et savoir lire les tableaux, signes et signaux, convaincus qu’ils en savaient assez.. Avec toutes les catastrophes récurrentes sur nos routes. Notre gus aussi, imbu de sa science infuse, de ses positions usurpées et de ses réseaux a préféré continuer à surfer sur les vagues snobant tous les membres éminents de « sa » famille avec toutes les dérives nauséabondes qu’il charrie dans tous ses écrits. Et qu’un confrère journaliste, UN VRAI celui-là , excédé, n’a pas hésité à flétrir avec force dans un admirable article titré fort à propos « Les misérables ». Et signé : Le journaliste Bakary Domingo MANE . Parce que lui, son titre ne souffre d’aucune ambiguïté. Voilà ce qu’il fallait faire pour mettre au pas ou aux normes tous ceux et celles qui voudraient embrasser le métier sans en avoir les qualités à la fois académiques, déontologiques, sociétales, philosophiques et tout simplement humaines pour l’exercer. Mais il semble que le mal est déjà fait et que Rien ne semble pouvoir arrêter les dérives permanentes de ce flibustier de la plume qui s’est même fait un machiavélique  plaisir d’amener le PR à flétrir ses collègues en des termes peu amènes lors de « ses » assises. Suscitant la réaction épidermique de Babacar FALL un autre journaliste VRAI aussi, déniant au PR le Droit d’indiquer aux journalistes la façon d’exercer leur métier. Le ridicule ne tuant plus depuis belle lurette, notre journaliste-Président y a jouté sa couche de moralisation et de déontologie à l’égard de ses confrères. On croit  halluciner! Un Evêque tenant une khoutba dans une mosquée n’aurait pu provoquer autant d’ahurissement! Thiey SENEGAL !!
Les exemples de turpitudes de ce genre font lésion et ont fini de convaincre qu’au Sénégal, pays de l’imposture, du faux et du parjure, TOUT EST PERMIS.
Sur ce chapitre, on se souvient parmi d’autres scandales, de l’épisode de la  cérémonie de « African  Leadership Awards » célébrée à Paris un certain samedi 03 novembre 2017 qui avait suscité moult réactions de compatriotes indignés. Tous s’offusquaient de voir le MEDS un autre « machin », aller jusqu’en France pour honorer des leaders africains  et qui s’interrogeaient à juste titre : Tant qu’il s’agissait de « leaders Africains » pourquoi à PARIS ?
C’est pourquoi, un compatriote Dr NDIAYE  – dans une belle contribution publiée dans « Le quotidien » du mardi 6 novembre 2017- avait dénoncé avec force,  cette imposture qui n’est que la face visible d’une vaste entreprise d’escroquerie de haut vol, perpétrée par une organisation ou plutôt par un Homme qui se targue d’être un Grand entrepreneur sénégalais et dont on attend toujours de savoir quelles sont les entreprises qu’il pilote et dans quels domaines d’activités et pour quels produits ou services?
On aimerait bien savoir.
Sur ce chapitre,  GOOGLE /MEDS nous apprend que le MEDS est un mouvement qui regrouperait plus de mille entreprises principalement des PME/PMI sans aucune autre précision. Maigre, vraiment trop maigre…Mouvement structuré avec un conseil d’administration et un président élu pour un mandat de cinq (5) ans et dont  le siège est occupé depuis 2000 par notre bonhomme qui en est donc à son 4ème mandat. Et l’alternance dans tout çà ? On en fait quoi ? Nous, on a tout compris. C’est son fromage. Il ne va rien céder. Qui est fou ? Tout comme notre journaliste-Président. N’est-ce pas ? Passons.
Les grands et vrais capitaines d’industries ou entrepreneurs ou commerçants de ce pays sont bien connus et leurs activités bien reconnues par les populations même si certains cultivent à l’extrême, la discrétion.
QUID du MEDS et de son PRESIDENT? Que celui qui a la réponse nous éclaire !!!
Dans ce registre et sans avoir à revenir sur les préoccupations légitimes et très pertinentes exprimées par l’article de Dr NDIAYE sur les aspects financiers, sur les bailleurs et sur la légitimité du Sieur à délivrer des prix et distinctions etc… Il est tout de même étonnant que dans un pays organisé comme se targue de l’être le Sénégal, on puisse s’ériger en leader d’opinion, d’entreprise ou religieux sans avoir démontré  ou montré  une capacité quelconque dans les domaines considérés.
Cela est facilité-il faut en convenir-  par une culture de la triche, de l’imposture et du mensonge permanent érigé en système de promotion sociale.  Ils sont nombreux, très nombreux dans notre pays, ceux qui traficotent leur CV avec des diplômes virtuels et des expériences professionnelles tronquées pour occuper des positions et stations sans commune mesure avec leurs compétences réelles. Ils surfent sur les vagues, déploient des trésors d’ingéniosité pour pénétrer des milieux huppés, adhèrent à des lobbies occultes, font de l’activisme à outrance pour l’avoir et le paraître à tout prix. Sans jamais être en mesure de vous dire ce qu’ils font réellement dans la vie en termes d’occupation professionnelle. Et on laisse faire !!!
Cette race d’imposteurs et de prédateurs sociaux  qui est la véritable gangrène de la société sénégalaise et qui donne un miroir déformant de la réussite sociale à nos jeunes en mal de discernement, aura  toujours de beaux jours devant elle tant que prospéreront le mensonge endémique, l’hypocrisie institutionnalisée et l’imposture légalisée, érigés en système de promotion sociale dans notre pays.
Au pays de l’imposture, du faux et du parjure, tout est permis.
Toujours dans le registre de l’imposture et de la tricherie, on se souvient, il n’y a guère, de l’histoire invraisemblable de ce fameux « Docteur samba » qui avait révélé au grand jour, les manœuvres délictuelles voire quasi criminelles de cet individu qui se faisait passer pour un Docteur en Médecine et qui n’avait en réalité comme diplôme véritable que sa proximité avec le PR et qui exerçait son art jusque dans les cercles concentriques du pouvoir.
A l’époque, l’émoi  et l’indignation avaient atteint son paroxysme pour dénoncer avec force, cette engeance qui gangrène gravement notre tissu social infesté de tricheurs, de faux, et autres menteurs de haute voltige qui grenouillent à tous les niveaux de notre vie économique, sociale, politique, religieuse, sportive et j’en passe.
Dénoncé, arrêté et mis en prison, cette affaire du faux Docteur Samba reste encore à livrer ses mystères et secrets. Au fait, il serait où ce quidam ?
Toujours dans le registre de l’imposture, du faux et de l’usage de faux, l’affaire du faux professeur de Philosophie Monsieur TOURE, sorti de nulle part et sans aucune qualification avérée en la matière qui réussit à enseigner pendant dix (10) ans la Philosophie dans nos lycées sans éveiller aucun soupçon de l’Administration et de toute la chaine de contrôle, de validation des connaissances du ministère en charge de l’enseignement, reste toujours une grande énigme!
L’affaire était tellement ENORME qu’on a toujours du mal à admettre que le quidam ait pu réussir à berner son monde pendant dix (10) ans.au nez et à la barbe de toute l’administration du département de l’éducation nationale qui sont Tous aussi COUPABLES. TOUS. Du Ministère aux proviseurs des lycées en passant par la Direction de l’enseignement secondaire et l’Inspecteur d’académie, coupables  de négligence, d’incompétence et de laxisme inacceptables pour avoir laissé prospérer une telle situation pendant si longtemps sans réaction énergique appropriée.  D’autant qu’on reste ahuri d’apprendre de la bouche de l’incriminé, que même après avoir quitté le service public depuis 2018, il continuait à percevoir son salaire de la direction de la solde. Quel PROFESSIONNALISME!
 Voilà où nous a menés la politisation excessive de notre Administration –décriée par tout le monde et qui n’aura produit que pléthore de bras cassés, d’incompétence, d’arrogance,  d’irresponsabilité et de laxisme à tous les niveaux. La suite de cette affaire? Je vous la donne en mille. Il n’y’aura Rien à signaler (RAS) je vous dis.  On attend toujours NON ?
Tout récemment, on vient de mettre à jour le scandale sans nom de la pouponnière « KER YERMENDER » gérée par l’inénarrable faux Docteur Ndella Madior DIOUF et qui s’est révélé être un lieu d’ignoble trafic d’êtres humains notamment des bébés. INOUÏ ET REPUGNANT..
Cette énième affaire illustre, s’il en était encore besoin, la culture de l’imposture, du mensonge et de la Triche qui semble avoir pris possession de notre pays et dans tous les domaines.
En effet, au Sénégal, On ment et on triche sur tout et à tous les niveaux.
Les cas cités supra parmi tant d’autres méfaits, ne sont que des illustrations de cet état de fait, mises à nu après avoir fait des dégâts qui restent toujours à évaluer sur tous les plans.  Quid des autres innombrables cas de fraudes inconnus, cachés ou tout simplement tus ? Des dizaines voire des milliers pour sûr!
Eh Oui ! Dans le Sénégal de la supercherie, de l’imposture et de la mythomanie institutionnalisée à tous les niveaux, il ne faut point s’étonner de voir évoluer et prospérer de tels individus lâches, tricheurs, menteurs, cupides et faux dans tous leurs agissements et comportements de tous les jours.
Dans ce pays tout est faux. Chez les hommes, on trouve plein de faux diplômes, de fausses compétences, de fausses généalogies, de faux dévots, de faux saints, On a eu ici entre autres calembredaines, des «Princeton», des «éléments hors du commun» des « DEUG de pharmacie ». Et aujourd’hui encore, les dakarois se demandent toujours qui de Moustapha, ou de Pape était véritablement leur DIOP le Maire? Défense de rire.  Chez les femmes, on trouve des faux cils, des faux ongles, des faux cheveux, des fausses hanches, des fausses fesses, des faux teints et j’en passe. Combien sont-ils ces sénégalais qui ne surfent et ne vivent que sur du faux ? Ils sont nombreux, très nombreux, ces sénégalais menteurs, falsificateurs, tricheurs, versatiles, incultes et parjures.
Cherchez bien, ils sont partout et sont connus de tous.
Pour en revenir à notre imposteur en titre, l’affaire dite de Serigne Saliou GUEYE , ce « journaliste » arrêté il y’a peu, pour des entorses à la déontologie et aux règles du journalisme, fut un nouveau scandale d’usurpation de fonction et autres faux et usage de faux. Car il semble que l’intéressé que tout le monde prenait pour un journaliste VRAI aurait avoué aux enquêteurs de la police ne pas posséder de diplôme académique attestant sa qualité de journaliste et précisant qu’il a appris le métier sur « le tas » dans les rédactions..
Et pourtant, il évolue dans le landerneau des médiats depuis très longtemps au vu et au su de nombre de ses « collègues » ….Qui eux, bien formés savaient la vacuité de son CV. Tout comme pour notre «Président de.. » Quoi.  Ils sont légion cette engeance sans formation académique avérée ni connaissances solides attestées qui a assailli et infesté le monde de la presse et qui arrive même pour certains comme notre bonhomme à présider des associations internationales de journalisme en parfaite situation de fraude et d’usurpation de qualité de journaliste. Ainsi, devant le silence coupable de toute la corporation, qui aura été laxiste pour ne pas dire complice d’une telle situation, le métier de journalisme et des médiats en général est envahi par toute une faune d’écrivassiers, de «consultants, d’analystes politiques » et  autres titres ronflants pour mystifier son monde et faire autorité et qui auront fini de dévaluer le très noble métier de journaliste. Le journalisme est un métier et comme tout métier, il s’apprend à bonne école et est sanctionné par un parchemin attestant des connaissances assimilées et des compétences maîtrisées qu’on appelle DIPLOME. Ainsi, si la corporation s’était bien organisée et bien structurée : « Nul ne devrait pouvoir exercer le métier de journaliste s’il n’est pas détenteur d’un tel parchemin ». Comme dans nombre de métiers qui se respectent.
Mais au Sénégal, on remarque que s’il y’a un domaine véritablement gangréné par des « intrus » c’est bien le domaine du journalisme et des médiats en général au point que nous avons 200 Journaux plus de 40 quotidiens et 200 sites d’infos etc.. pour un petit pays d’un peu moins de 200.000 KM2 pour un peu plus de 17 millions d’habitants dont à peine un peu plus de 3 millions véritablement alphabétisés. C’EST ENORME !! Et dans tout ce magma de l’information seuls quelques rares acteurs peuvent se prévaloir d’avoir suivi une formation académique avérée aux métiers des médiats. Le reste tout le reste c’est-à-dire la grande masse aura appris « sur le tas » avec ses insuffisances criardes et ses lacunes immenses qui auront fini d produire des «journaleux» ou «doulnalistes »  pour parler comme le bon peuple qui sait toujours bien identifier les vrais des faux .
Une profession on l’exerce, un métier on l’apprend pour pouvoir bien le pratiquer.
Sous ce rapport,  un infirmier aura beau exercé pendant des lustres dans une structure sanitaire, il ne lui viendra jamais à l’idée de se faire appeler Docteur et d’agir comme teL. Ce serait une usurpation de fonction  et un délit réprimé par la Loi. C’est dans ce domaine que la corporation a failli. Il faut oser le dire. Et maintenant elle en est à faire face à des dérives et autres manquements de certains de ses membres qu’un déficit criard de formation laisse toujours apparaitre. Pour la sauvegarde de leur métier, la corporation aurait du mettre en place un mécanisme de validation des connaissances et aptitudes pour ceux d’entre eux qui auraient appris le journalisme « dans le tas » et leur délivrer des diplômes donnant droit au titre, grade et fonction  de journaliste. Au lieu de cela, la corporation a laissé prospérer une situation de silence coupable qui aujourd’hui, porte grand préjudice au métier de journaliste souillé par des tire-au-flanc et autres flibustiers de la plume et de l’image sans foi , ni loi, ni éthique ni déontologie  et n’ayant pour la plupart d’entre eux  que la vergogne, le toupet et la logorrhée pour se faire adouber. Ce qui a fait réagir avec vigueur, le journaliste Bakary Domingo MENDY dans son récent pamphlet intitulé « Les misérables ». Un de mes amis très chers aimait à rappeler que : « le journalisme est d’abord et avant tout des connaissances acquises à bonne école, adossées à une éthique et à une déontologie régissant les règles de la profession. Sans éthique et sans déontologie le journalisme devient instigateur de troubles. Le journalisme est d’une haute responsabilité sociale. Même s’il sait tout, voit tout et entend tout, le journaliste responsable, ne dit pas tout, ne montre pas tout et ne rapporte pas tout. Dans l’exercice de son métier, le journaliste Vrai engage toujours sa propre responsabilité et celle de son organe. » Concluait-il.  TOUT EST DIT.
Il urge donc pour la corporation de prendre son courage à deux mains et de se décider à faire le ménage dans ses rangs en sortant de son silence coupable et d’engager sans délai l’assainissement de la famille journalistique en la purgeant sans aucun état d’âme ni faiblesse coupable de toutes les scories et des imposteurs qui encombrent la profession et ne font que la souiller et la desservir. Pour qu’enfin le journalisme et les médiats  de manière générale soit l’affaire de CONFRERES  et non une tribu de «cons de frères ».  
Cette opération AUGIAS  est nécessaire, indispensable et souhaitable pour tous les autres domaines de la vie économique, sociale, politique, religieuse et autres. Afin que notre pays retrouve ses vraies valeurs de probité morale, d’honnêteté intellectuelle et de compétences   avérées qu’il n’aurait jamais du perdre du fait des faussaires en tout genre. WASSALAM
 
EN ATTENDANT, LES FAUSSAIRES,MENTEURS ET AUTRES IMPOSTEURS ONT ENCORE DE BEAUX JOURS DANS NOTRE PAYS.
 
Que Dieu nous garde et garde le Sénégal des IMPOSTEURS de toutes sortes.
 
Dakar le 15/01/2024
Guimba  KONATE
DAKAR
guimba.konate@gmail.com
Guimba Konaté




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