Les annonces faites par les bailleurs de fonds dépassent les attentes des autorités ivoiriennes pour le financement du Plan national de développement du pays, relève jeuneafrique.com.
C’est près du double du montant recherché, observe le site du magazine basé en France, indiquant que «de cette somme promise, le déboursement de 2,7 milliards de dollars est déjà acquis, selon les autorités ivoiriennes».
Pour réaliser la nouvelle phase de son programme national de développement, le gouvernement ivoirien recherchait, lors de cette première journée, 4,425 milliards de F CFA (6,75 milliards d’euros) afin de compléter ses ressources propres et réaliser les investissements publics prévus.
A lui seul, le groupe de la Banque mondiale a notamment annoncé un engagement global (incluant les financements de ses différentes filiales) de 5 milliards de dollars.
De leur côté, la Banque africaine de développement (Bad) et la Banque islamique de développement (Bid) ont promis des participations respectives de 2 milliards et 1,8 milliard de dollars.
«Réalisé avec le soutien de l’Organisation de coopération et de développement économiques (Ocde), le deuxième volet du Pnd pour la période 2016-2020 est évalué à 30 000 milliards de F CFA, soit environ 46 milliards d’euros, avec 62 pour cent du financement attendu du secteur privé et 38 pour cent du secteur public», précise jeuneafrique.com.
C’est près du double du montant recherché, observe le site du magazine basé en France, indiquant que «de cette somme promise, le déboursement de 2,7 milliards de dollars est déjà acquis, selon les autorités ivoiriennes».
Pour réaliser la nouvelle phase de son programme national de développement, le gouvernement ivoirien recherchait, lors de cette première journée, 4,425 milliards de F CFA (6,75 milliards d’euros) afin de compléter ses ressources propres et réaliser les investissements publics prévus.
A lui seul, le groupe de la Banque mondiale a notamment annoncé un engagement global (incluant les financements de ses différentes filiales) de 5 milliards de dollars.
De leur côté, la Banque africaine de développement (Bad) et la Banque islamique de développement (Bid) ont promis des participations respectives de 2 milliards et 1,8 milliard de dollars.
«Réalisé avec le soutien de l’Organisation de coopération et de développement économiques (Ocde), le deuxième volet du Pnd pour la période 2016-2020 est évalué à 30 000 milliards de F CFA, soit environ 46 milliards d’euros, avec 62 pour cent du financement attendu du secteur privé et 38 pour cent du secteur public», précise jeuneafrique.com.