«Cette mesure, qui simplifie les procédures de voyage, a pour objectif d’attirer des touristes internationaux en Indonésie», précise l’OMT, dans un communiqué de presse.
Elle est consécutive à des études de l’OMT et du WTTC «montrant que la facilitation de l’obtention des visas dans les économies de l’ASEAN pouvait déboucher sur la création de 333 000 à 654 000 emplois en trois ans».
La politique de dispense de visas concerne les séjours d’une durée maximale de 30 jours. «Elle n’implique aucune limitation du nombre de visites par an. Elle n’est pas prorogeable ni transformable en une quelconque autorisation de séjour.»
«L’Indonésie donne l’exemple au monde entier. L’OMT salue la décision du Gouvernement indonésien qui prouve bien à quel point le pays s’efforce de développer le secteur du tourisme pour conforter sa croissance économique, l’emploi et le bien-être de son peuple», a affirmé le secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai.
L’OMT n’a cessé de mettre en avant les avantages des voyages sûrs, sécurisés et fluides pour promouvoir le développement du tourisme et en multiplier les retombées socioéconomiques.
Le Rapport OMT/WTTC sur l’impact de la facilitation de l’obtention des visas dans les États membres de l’ASEAN soulignait que cette association des nations du Sud-Est asiatique «pouvait obtenir de 6 à 10 millions d’arrivées supplémentaires de touristes internationaux en facilitant la délivrance des visas».
Selon toujours ce rapport, «les recettes additionnelles apportées par ces touristes pouvaient atteindre 7 à 12 milliards
de dollars».
Des avancées ont été constatées dans le monde entier mais de nombreuses opportunités de progrès restent à saisir, notamment en utilisant au maximum les nouvelles technologies.
D’après le Rapport 2015 de l’OMT sur les régimes de visa et l’ouverture au tourisme (Visa
Openness Report), la part des touristes ayant besoin d’un visa avant d’entreprendre leur voyage continue
de baisser et n’a jamais été à un niveau aussi bas.
En 2015, 39 % de la population mondiale pouvait
voyager pour raisons de tourisme sans avoir à obtenir de visa traditionnel avant le départ, contre seulement 23 % en 2008.
Elle est consécutive à des études de l’OMT et du WTTC «montrant que la facilitation de l’obtention des visas dans les économies de l’ASEAN pouvait déboucher sur la création de 333 000 à 654 000 emplois en trois ans».
La politique de dispense de visas concerne les séjours d’une durée maximale de 30 jours. «Elle n’implique aucune limitation du nombre de visites par an. Elle n’est pas prorogeable ni transformable en une quelconque autorisation de séjour.»
«L’Indonésie donne l’exemple au monde entier. L’OMT salue la décision du Gouvernement indonésien qui prouve bien à quel point le pays s’efforce de développer le secteur du tourisme pour conforter sa croissance économique, l’emploi et le bien-être de son peuple», a affirmé le secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai.
L’OMT n’a cessé de mettre en avant les avantages des voyages sûrs, sécurisés et fluides pour promouvoir le développement du tourisme et en multiplier les retombées socioéconomiques.
Le Rapport OMT/WTTC sur l’impact de la facilitation de l’obtention des visas dans les États membres de l’ASEAN soulignait que cette association des nations du Sud-Est asiatique «pouvait obtenir de 6 à 10 millions d’arrivées supplémentaires de touristes internationaux en facilitant la délivrance des visas».
Selon toujours ce rapport, «les recettes additionnelles apportées par ces touristes pouvaient atteindre 7 à 12 milliards
de dollars».
Des avancées ont été constatées dans le monde entier mais de nombreuses opportunités de progrès restent à saisir, notamment en utilisant au maximum les nouvelles technologies.
D’après le Rapport 2015 de l’OMT sur les régimes de visa et l’ouverture au tourisme (Visa
Openness Report), la part des touristes ayant besoin d’un visa avant d’entreprendre leur voyage continue
de baisser et n’a jamais été à un niveau aussi bas.
En 2015, 39 % de la population mondiale pouvait
voyager pour raisons de tourisme sans avoir à obtenir de visa traditionnel avant le départ, contre seulement 23 % en 2008.