Selon le Fmi dont une mission vient de séjourner au Sénégal, «l’inflation reste faible en raison notamment de la faiblesse des cours mondiaux du pétrole et du bon approvisionnement des marchés en produits céréaliers».
L’institution ajoute que «le déficit du compte courant extérieur se serait amélioré sous l’effet d’une augmentation des exportations et des envois de fonds des travailleurs».
La mise en œuvre du programme ISPE reste globalement satisfaisante. Tous les critères quantitatifs et objectifs indicatifs du programme à fin décembre 2016 ont été atteints.
L’amélioration des recettes fiscales conjuguée à la poursuite de la politique de contrôle des dépenses de consommation publique a permis de contenir le déficit budgétaire dans la limite fixée par le programme.
Des progrès importants ont été également réalisés dans la réalisation des repères structurels.
Le Fmi souligne que «les perspectives pour l’année 2017 restent positives avec un taux de croissance qui devrait encore se situer au-dessus de 6 pourcent».
«Ceci requiert, toutefois, la poursuite de la consolidation des marges de manœuvre budgétaire de l’État, le renforcement de la gestion des finances publiques et de la gouvernance, l’amélioration de l’environnement des affaires et la promotion des PMEs et l’inclusion sociale».
L’institution ajoute que «le déficit du compte courant extérieur se serait amélioré sous l’effet d’une augmentation des exportations et des envois de fonds des travailleurs».
La mise en œuvre du programme ISPE reste globalement satisfaisante. Tous les critères quantitatifs et objectifs indicatifs du programme à fin décembre 2016 ont été atteints.
L’amélioration des recettes fiscales conjuguée à la poursuite de la politique de contrôle des dépenses de consommation publique a permis de contenir le déficit budgétaire dans la limite fixée par le programme.
Des progrès importants ont été également réalisés dans la réalisation des repères structurels.
Le Fmi souligne que «les perspectives pour l’année 2017 restent positives avec un taux de croissance qui devrait encore se situer au-dessus de 6 pourcent».
«Ceci requiert, toutefois, la poursuite de la consolidation des marges de manœuvre budgétaire de l’État, le renforcement de la gestion des finances publiques et de la gouvernance, l’amélioration de l’environnement des affaires et la promotion des PMEs et l’inclusion sociale».